jeudi 21 décembre 2017
Octobre 007
D'une étincelle mourant sous les grisailles humanoïdes
Elle fait la Flamme, Or virginal.
Loin des sectes xylophages,
ses yeux, détenteurs des torches,
ne connaissent pour bûcher que mon désir.
Et d'un vers de laudanum
sa voix s'incite en mes axones
28 fois trop romantiques
Si la vie réclame un épilogue
Que feront nos songes sans-culottes
de ces corps centrifuges
toujours là à la traîne des comètes
comme des boulets de Cayenne?
Vas-y fais pleurer les étoiles!
Je meurs de soif…
La poésie est une hôtesse de bar montant
Le ciel comme un orgasme se décompose en strates
Comme j'aimerais dîner au chant d'Elle
d'un cœur sous cloche et d'un rouge
sang
que la lune décanterait
mais Octobre n'en finit pas!
Octobre et ses cadavres chlorophylliens
Octobre et ses soleils amputés
Octobre à l'ombre des Faux Zola
N'y a-t-il donc pas un Nemo pour capturer la pieuvre?
Sais-tu ce qu'est le ciel?
Rien de plus ni de moins qu'une eau renversée
Un 6-9 que les fard bleus et les écumes volantes trahissent
Et pourtant mes racines rêvent ce Très Haut
Alors je tire ma flèche…
J'attends Novembre
2008
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